Envoie un message, je m'ennui.
Heya.
Rupture.
Paroles enfermées, secret bien gardé. Jusqu'où crois-tu pouvoir aller ? Et me laisser si loin de toi. Jusqu'à où crois-tu que j'accepterais ton jeu amoureux, et surtout, douteux, que je resterais sourd à tout ça, que je te laisserais faire, mes larmes coulent. Qu'ai-je fais pour que tu es un tel comportement envers moi ? Cette douleur a affligé mon coeur, je t'ai donné sûrement trop d'amour et trop d'importance. C'était trop de souffrance, trop de vie sans amour, bien moins d'amour que de trahison et de pleurs. Alors je te laisse à ton amour sans vie. Moi, à l'avenir, je trouverais quelqu'un qui ne se cherche pas lui-même, mais surtout une personne honnête. Séparation douloureuse! Tu disais avoir fais les bons choix, tu disais que l'on s'aimera jusqu'à ce que le destin nous sépare. Tu as été plus rapide que lui, quelle bonne raison de te haïr. Cela me blesse à chaque fois que tu prétends être heureux pour moi. Dommage, je continue ma vie, parfois je n'éprouve que du mépris. Voilà, finalement, on part chacun de notre côté espérant ne plus jamais se croiser. Nous ferons beaucoup de détours, le hasard fait bien les choses. Tu as préféré faire des détours, aller voir ailleurs, sans aucun remord. Depuis que tu es parti, mon coeur s'est évanoui, tu étais pour moi, l'homme de ma vie. Même si je ne te l'ai pas souvent dit, mon coeur t'appartenait. Mais tout ça, c'est fini. Ouais, envolé. Je ne t'appartiens plus, comme tu ne m'appartiens pas.
Aujourd'hui j'ai compris que tu n'étais pas l'homme de ma vie, je suis l'homme de ma vie. Et si il y a bien quelqu'un dans ma vie, c'est bien une femme. Une personne présente, existante. Et elle partage chaque minute de ma vie, chaque instants, chaque secondes. Le temps, on le passe à deux, on le vit à deux. Il n'y a pas grand monde dans mon univers, mais il est bien plus grand juste à nous deux qu'avec quarante milles personnes. Avoir du monde autour de soi, c'est bien. Avoir une personne avec soi, c'est mieux. C'est comme une moitié trouvée, quelqu'un que je connaissais depuis toujours. Elle me complète, et je la complète. Elle me finit, et je la termine. Sur des pavés, dans l'herbe, sur le vieux planchet, ou encore dans les graviers, qu'importe, je serais bien nulpart et partout avec elle. Et c'est tout ce qui compte.